For eg.
-its medium term macroeconomic framework, fiscal strategy and debt management strategy
-the level of consolidated fiscal deficits over the years; the deceitful accounting !
-How these deficits are being financed, the money creation and its impact on inflation
-The level of Public sector debt; is it sustainable ? Are we not risking a Moody’s downgrade or some “rotin bazars” from the IMF?
-The trend in the revenue and expenditure figures as a% of GDP; the cost of the increase in pensions and social benefits,
-The special funds and the fiscal space for greater spending
Inflation ,
-The debt ratio and tax revenues- a strategy of debt default by inflation
-Fiscal deficits impact on the external accounts and pressure on the rupee.
-Debt and inflation feeding on each other likely to end up in economic disaster ahead.
-Fiscal consolidation, debt sustainability, control inflation and the drain in foreign exchange reserves.
-The fiscal adjustments to prevent the economy from edging closer to crisis.
Fortunately we still have some worthy economists such as Parapen Kugan, Takesh Luckho and Vinaye Ancharaz who have dared to raise some of these issues.
Kugan Parapen, remet en question la projection de croissance de 8,5% du ministre des Finances. « Sa donn enn perspectiv ki pe al dan la bonn direksion. Le ministre enn katastrof lor prozeksion ekonomik. La kestion ki dimoun poze se koman finans tou sa la », affirme-t-il.
« Pe pran dan pos gos, pe retourn dan pos drwat », a-t-il dit, faisant allusion aux taxes imposées sur les carburants.
De l’avis de Kugan Parapen, c’est un retour de la TVA, payée par la population, et il ne trouve rien d’innovant au budget présenté.
Vinaye rightly points out that “ Comme d'habitude, le diable se cache dans les details. Toute personne qui a le courage de parcourir les petits caractères des annexes sera horrifié de constater que le gouvernement compte empocher Rs 22 milliards grâce a la vente des actions. Ce qui sera vendu est top secret, mais les speculations vont bon train sur le fait que la MauBank et la National Investment Company feront les frais de incompetence flagrante du gouvernement dans la gestion des affaires du pays. Un autre chiffre qui fait sourciller est que Rs 23,3 milliards seront dépensées des fonds spéciaux, donc en dehors du budget consolidé. II s’agit dune tactique trompeuse utilisée par le gouvernement pour maintenir le deficit budgétaire dans la cible de 4 96. C’est comme gander deux comptes bancaires et maintenir celui qui attire l’attention du public en bon état tout en épuisant l’autre ! C’est de la gestion financière irresponsable et cela crée un dangereux précédent ”
Takesh-qui est de ceux qui croient que les problèmes de fond n'ont pas été abordés- alerts us to the fact that in Budget 2022-23 “On peine à trouver des mesures orientées vers le développement économique futur du pays..… on s'attendait à voir lc budget apporter une nouvelle vision pour Maurice. .… Meme si le ministre des Finances a annoncé que ce budget créera presque Rs 70 milliards en terme de Produit intérieur brut., l’économie réelle est, elle. encore a des niveaux pre-Covid-19. Le chiffre du NB de Rs 576 milliards pour l’année fiscale 2022/23 est dopé par inflation. On se repose encore. uniquement, sur le secteur touristique, avec des predictions tres optimistes de 1,4 million d’arrivées durant l’année pour une croissance économique à 8.5% On n’a pas appris des leçons de l’année derriere…. »
H adds that « .… Cependant, si on analyse la cause de l'inflation à Maurice, on verra en tête de liste deux variables : la depreciation de la roupie et le prix de essence La depreciation de la roupie résulte d’une politique délibérée du gouvernement, qui joue le jeu d’une roupie faible. .. »