Nou byen triste may nou ossi en koler !
Nou ti kapav évit sa drame lá ! Sa ban komité/Task force ki en charz organizasyon Maha Shivatree chaired by PM, sa ban politisyens , sa ban socio-culturels, sa ban religious bodies là, zot fin faillir dan zot role pou fer Grand Bassin(GB) vinn enn lieu de recueillement, de méditation pou tou ban morisyens .., tranquillement religieux, digne et serein pou tou ban pèlerins !
Zot fer GB vinn enn show , enn show of power of the Hindus, of their numbers not of their love and devotion …nou déranz tou dimounn, nou impoz nou lor tou dimounn…kot ban lot components of nou "viv-ensam" dégoute nou, mem komans haïr nou ..
“The festival should be a congregation of devotees from all religions, with discipline and immersed in the present moment not a circus, a riot of loud music- earth shattering remixes perturbing other pilgrims or the neighborhood - chaotic exuberance, unbridled crowd encroaching on the rights of others, disturbing people in the middle of the night, causing disruptions to the traffic and feeling shamelessly proud of their rowdy behaviour. “
The GB show must stop.. Zot tou kupab !
GB bizin manage par enn komité de Sages pou rédon so vrai valer pou tou Morisyens ..tou pèlerins
" Mais la question qui devrait nous pousser à la réflexion est comment en sommes-nous arrivés là ? Là, ériger une structure pour un pèlerinage religieux plus haute que des câbles de haute tension que nous pensons soulever en toute quiétude avec une tige... Il y a des choses qui sont de l’ordre de la raison que nous ne défions pas de par leur évidence, toucher des câbles de haute tension devrait normalement en faire partie. Sommes-nous devenus une société dépourvue de rationalité à ce point ? Au vu des évènements du 3 mars 2024 à Arsenal, on dirait que oui. À ceux et celles qui disent encore que la responsabilité en revient au CEB, ou encore qu’ils/elles n’ont pas de leçon à recevoir quant à la démonstration de leur foi, n’est-ce pas là un manque de respect à nos jeunes enfants qui ont laissé leur vie dans ce drame, ainsi qu’aux autres blessés et à leurs familles?
Dans tout État de droit, il existe des paramètres que nous ne pouvons pas soulever ou manipuler à notre guise, même au nom de la religion. Et c’est bien là le problème. La religion est hautement instrumentalisée et devient
dans notre société mauricienne l’enjeu de passe-droit, de manipulation et de démonstration. À Maurice, au nom de la religion, tout est permis et on joue des coudes au point où cela conduit à la mort tragique de nos jeunes. D’autant que je m’en souvienne, le Maha Shivaratree a toujours été source de piété ne visant qu’à l’élévation spirituelle des pèlerins, et pour le profane que je suis, source d’admiration devant le courage et l’abnégation des marcheurs/ses. Quand et comment est-ce que cela a changé ? Car il serait hypocrite aujourd’hui de ne pas reconnaître la frustration que suscitent certain.es pèlerin.es sur nos routes devant l’étalage des structures et de musique surdimensionnée qui les accompagne. Qu’on ne nous dise pas que c’est la fougue de la jeunesse qui en est responsable. Ces dernier.es ne tombent pas du ciel, ils/elles sont le produit de la société et des générations qui les précèdent. De quoi se sont ainsi abreuvés nos jeunes pour se lancer dans une si périlleuse aventure ? Il incombe sérieusement aux responsables religieux d’expliquer aux pèlerins et profanes la pertinence de tant d’exubérance."
Stephan Gua , "Arrêtons de jouer des coudes..."
Comments
Pritbeeraj Bheem SinghBien ekrir e dir Rattan..mwa mo enan 67 ans, mo konn GB ki ti enn plas de lazwa kan ou finn ariv laba apre ou pelerinaz, dimounn ti pe repoze enn tipe apre al pran enn bin e fer lapriyer, ekout bann 'bhajan' discour Pandit ou bien Misie Basant RAI, Pre…
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Vick PunchooPas bizin ena comité ditout, point à la ligne. Longtemps pas ti éna tout sa cinéma là et tou ti pé déroule korek. Laisse la religion aux dévots. Politique pena narien à faire la dans. Politiciens envie allé grand bassin, zotte allé couma tou dimoune
parski devant bondié tou dimun pareil.